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  • Nelly Duff

    Mobstr

    WHO IS MOBSTR?

    When Mobstr started to paint his strikingly simple, clever and thought provoking statements across East London from approximately 5 years ago, the public were blown away by the stark evaluative nature of each piece. It’s rare that an artist comes along who really stands out. Found emblazoned across most surfaces the city provides, his pieces are often playfully mocking yet carry with them a mature voice. Transparent, blunt and potent: this is the ethos of Mobster. 

    Alongside the ‘big’ questions pondered by humanity, renegade artist Mobstr has introduced a new question: ‘Huh?’ This thought-provoking intervention has accompanied the artist in his journey across East London and beyond. Interrogating passers-by, with a seemingly empty query, upon billboards, walls, road-signs and even the heels of shoes. New to Nelly Duff is ‘Game Over’ that poses the same question with a glow-in-the-dark print, achieved by a two colour phosphorescent screen print.

    ‘Game Over’ is inspired by a big-brother ‘Huh?’ that appeared on the streets of Hackney. The hand-cut stencil work morphed into the urban-scape during the day, only to surprise drivers-by with its glow-in-the-dark lettering when the sun came down.

    Also new to Nelly is Mobstr’s ‘Watch Yourself'. This tongue-in-cheek artwork is a woodcut relief print, hand-printed by the artist, with a finishing touch of humility! BY JESSIE ALICE 31ST JANUARY 2016.

     

  • Remplacer la publicité par l'art

     
    La plateforme de financement participatif Oboem propose de remplir les panneaux
    d'affichage d'habitude réservés à la publicité par des œuvres d'art.
     Par Mathilde Gaudechoux  le 04/09/2017 
     
    Démocratiser l'art et reprendre le contrôle de l'espace urbain. Voici le défi de la start-up Oboem. Celle-ci propose aux internautes de financer des campagnes d'affichages pour remplacer la publicité qu'on voit sur les panneaux dans la rue, par des oeuvres d'art.
     
    Lancée fin juin 2017, la première campagne de financement participatif court jusqu'au 30 septembre. L'objectif: afficher 18 artistes pendant une semaine sur 200 panneaux dans les rues de Bordeaux. Coût de l'opération: 12.000 euros (il faut compter 7000 euros en moyenne à Bordeaux pour une semaine pour une centaine de panneaux). En parallèle, les fondateurs d'Oboem cherchent à se faire entendre auprès de la mairie pour qu'elle mette à disposition quelques panneaux pour les artistes.
     
     
    Les internautes ont réservé un bon accueil à cette initiative bordelaise qui compte déja une centaine de mécènes. Franck, 23 ans, est l'un d'entre eux: «On voit de la publicité, partout, tout le temps. L'idée de détourner le support du panneau publicitaire pour y mettre des œuvres d'art à la disposition de tous, m'a conquis!»
    En France, ce n'est pas une première. Beaucoup de collectifs d'artistes ont déja lancé des initiatives semblables, mais l'enjeu d'Oboem est de péréniser la formule. «Nous ne voulons pas lancer des opérations éphémères, ponctuelles, mais développer l'affichage d'art dans la rue, renouveler les œuvres, mais en proposer continuellement», explique Oliver Moss, l'un des fondateurs de la start-up.
     
    C'est au cours d'un voyage en Amérique latine avec sa petite amie Marie Toni que l'idée a germé. Le couple se rencontre à Paris en 2015. Chacun quitte son travail quelques mois après. Marie et Oliver découvrent onze pays en 1 an. «C'est le Chili et plus précisément la ville de Valparaiso, la Vallée du Paradis, qui nous a le plus marqués, explique Oliver. Valparaiso est une ville portuaire et la légende raconte que les habitants récupéraient les restes de peintures qui servaient aux bateaux pour colorer les rues. Là-bas, il y a beaucoup de fresques. Les rues sont très colorées, et quand on est rentré en France, tout nous semblait bien gris en comparaison.» Une révélation, pour eux, qui souhaitaient déja créer leur propre entreprise.
     
    Pour Oliver, l'art et la créativité peuvent «inspirer les gens, changer beaucoup de choses, de trajectoires, donner une autre dimension à la ville». En somme, apporter de la visibilité aux artistes est un enjeu de société. Pour Félix Hemme, 40 ans, artiste peintre, Oboem est une belle opportunité. Il rêve de pouvoir faire des expositions massives avec plein d'artistes et rendre aux villes leurs couleurs.
     
    Dans cette première opération de financement, Marie et Oliver ont choisi eux-mêmes les artistes, s'appuyant uniquement sur leurs émotions. «Nous ne venons pas du monde de l'art. Et comme l'idée est de rendre l'art accessible à tous, nous ne voulions pas des œuvres trop abstraites, trop difficiles à comprendre. Ceux qui n'ont jamais franchi le seuil d'une galerie d'art mais qui attendent leur bus doivent avoir la possibilité d'admirer une œuvre», affirme Oliver. Un regard non expert et naïf sur l'art qui sert bien la cause d'Oboem.
     
    Les deux fondateurs ne souhaitent pas s'arrêter en si bon chemin. La prochaine opération ne se déroulera pas nécessairement à Bordeaux. Ils veulent s'étendre, toucher d'autres villes françaises, et pourquoi pas européennes.

     Félix Hemme

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  • David Douglas Duncan

    Picasso, David Douglas Duncan,

    Picasso, modèle de David Douglas Duncan

    Conférence au Musée d'art et d'histoire de Genève le 30 octobre 2012, dans le cadre de l'exposition "Picasso à l'oeuvre.

    Dans l'objectif de David Douglas Duncan"

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  • Photographe-coloriste

    Harry Gruyaert membre de l'agence #MagnumPhotos depuis 1981, photographie les couleurs, c’est sa façon de percevoir le monde. Vers l’âge de 20 ans, fuyant une Belgique qu’il jugeait trop étroite, il décide que la photographie sera son moyen d’expression, qu’avec elle il traduira et construira sa quête de connaissance et de sensualité. Dans les années 1970-1980 avec les Américains Saul Leiter, Joel Meyerowitz, Stephen Shore ou William Eggleston, Harry Gruyaert est un des rares pionniers européens à donner à la couleur une dimension purement créative, une perception émotive, non narrative et radicalement graphique du monde. Cette exposition à la Maison Européenne de la Photographie est sa première rétrospective.Après des études à l’école du cinéma et de photographie de #Bruxelles au début des années 1960, il travaille pour des documentaires de télévision, mais les photographies de Richard Avedon et Irving Penn l’incitent à devenir photographe de mode.
    En 1962, il quitte sa ville natale d’#Anvers pour Paris ou trois rencontres seront déterminantes. Peter Knapp lui commande des photos de mode pour le magazine Elle dont il est le directeur artistique. Harry Gruyaert éprouve alors un certain plaisir à “vivre parmi les mannequins”, avant de trouver que “tout cela manque singulièrement d’ouverture au monde”. Robert Delpire, qu’il admire pour la qualité de ses livres autant que de son agence de publicité, lui fait réaliser des photos de voiture, puis, Philippe Hartley lui demande de documenter une croisière Paquet, au Maroc.
    Ce pays est une révélation, devient l’un de ses réservoirs constants d’inspiration et l’occasion de deux livres. Il y voit comme “une fusion, les habitants sont mêlés au paysage dans une harmonie de couleurs, c’est le Moyen-Âge et Brueghel à la fois”. Il comprend que son expression personnelle trouvera sa source dans les voyages, pour se confronter à d’autres réalités. Il se méfiera toutefois du travail pour la presse, par crainte de se contenter d’“assurer un reportage”, au détriment de la recherche de l’image absolue. Ainsi pour être libre de voyager à son rythme et de produire des photographies sans autre finalité que l’expérience vécue et la construction graphique, Gruyaert gagne sa vie en réalisant des commandes commerciales pour des entreprises, ce qui l’amène sur des circuits de Formule 1 comme sur des sites nucléaires…
    Il est plus influencé par la peinture et le cinéma que par la photographie. Grand admirateur d’#Antonioni, il est proche de sculpteurs comme Richard Nonas ou Gordon Matta-Clark, rencontrés à New York. Vivant à Londres en 1972, influencé par le pop art, il réalise l’étonnante série TV Shots en déréglant un poste de télévision. Les Jeux olympiques, les comédies, les premiers pas sur la lune deviennent les symboles stylisés d’une télévision qui s’invente.
    Après Paris, New York et le Maroc, Gruyaert éprouve le besoin de retourner photographier en Belgique. Il publie Made in Belgium, un livre essentiel pour solder la relation douloureuse qu’il entretient avec sa patrie. Les photos de cette série sont empreintes d’une lumière intermédiaire, légèrement éteinte, sans brillance, souvent ton sur ton, ou au contraire affichent des couleurs volontaires pour combattre les inclinations mélancoliques que lui procure sa terre natale. 
    #HarryGruyaert dit qu’en Belgique il a mis du temps à découvrir la couleur. Cette lumière où le vert et le bleu pâle dominent fait désormais partie de son nuancier. Il la retrouve plus tard en Russie. Alors que Paris semble d’une modernité désuète faite de formica usé, ses voyages méditerranéens ou en Inde sont l’occasion de teintes plus veloutées, tandis que le Japon et les États-Unis révèlent pour leur part des couleurs nettement tranchées, plus incisives. Quant aux aéroports, ils semblent ne baigner que dans les lumières des soleils couchants. “La couleur est plus physique que le noir et blanc, plus intellectuel et abstrait. Devant une photo en noir et blanc, on a davantage envie de comprendre ce qui se passe entre les personnages. Avec la couleur on doit être immédiatement affecté par les différents tons qui expriment une situation. ”
    Les personnages, réduits au rang de silhouettes, sont de dos ou sans visage. Ce qui pour d’autres constituerait le stigmate d’une photo ratée est une revendication affirmée : “Je me sens beaucoup plus proche d’une démarche photographique américaine que de la photographie humaniste française. (…) Faire une photo, c’est à la fois chercher un contact et le refuser, être en même temps le plus là et le moins là”.
    Certaines séries sont très dépouillées et d’autres très complexes. Ce sont ces essais de palettes différentes, cette recherche de densité dans le cadre, qui obligent à parler d’un travail de recherche davantage que de posture documentaire ou narrative.
    Henri Cartier-Bresson, visitant son exposition sur le Maroc chez Robert Delpire en 1978, lui propose de colorier avec des pastels ses propres images en noir et blanc. Harry Gruyaert répondra qu’il n’est pas peintre, réponse qui dépasse l’anecdote pour affirmer une expression artistique à part entière : la photographie couleur.
    L’exposition de William Eggleston au musée d’art moderne de New York en 1976 l’avait conforté dans sa démarche, mais lui avait fait comprendre “qu’une photographie existe lorsqu’elle prend corps par le tirage ”. Longtemps adepte du Cibachrome aux couleurs saturées et aux noirs profonds, l’avènement du digital comble ses exigences. Les nouveaux papiers lui apportent des douceurs et une tessiture d’une étendue infinie dont il ne cesse de se réjouir.
    Dans les années 2000 la pellicule Kodachrome devient indisponible, Gruyaert passe alors à la prise de vue numérique. Il trouve que cette pratique fait perdre en rigueur, mais donne “accès à de nouvelles lumières et permet de prendre plus de risques”.
    C’est l’image, la couleur, la matière, la lumière qui ont orienté la sélection des photographies de cette exposition en dehors de toute logique thématique ou géographique. Le regard ayant évolué, une progression chronologique ressort dans l’accrochage.
    Harry Gruyaert décrit la photographie comme une expérience physique, un état d’excitation, un plaisir sensuel et vital, une façon d’être plus présent au monde, moins vulnérable, voire une thérapie : “Il s’agit d’une vraie bagarre avec la réalité, une sorte de transe pour enregistrer une image ou peut-être tout manquer. C’est dans cette bagarre que je me situe le mieux.” 
    #FrançoisHébel - Commissaire de l’exposition (15.04.2015 - 14.06.2015)

    Harry Gruyaert

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  • The Ashes Series

    The Ashes series depicts the suffering of war not through human displays of emotion, but rather through the absence of human life in once occupied homes. It investigates the impact of the destruction of these private, domestic spaces in war and media images of such destruction. These intimate spaces are literally ripped open and become public through external violence and the act of destruction. The images exist in the aftermath of atrocity, with the presence of the human spirit represented only by the monochromatic whiteness of the ashes. These images also serve as mirrors to my desire to return home to Iraq when this is not possible, as well as to explore the duality of my life as a former Iraqi refugee and as an Arab American between two clashing worlds. Reconstructing the destroyed spaces provides a way for me to exist within them and, in a sense, to rebuild the places in Iraq where my brother and father were killed. As an artist I constantly negotiate between the expression of aesthetic pleasure, which is necessary to seduce the eye, and conveying the aesthetic pain of destruction. The Ashes Series represents my attempt to make sense of destruction and to preserve the moment of serenity after the dust has settled: to give the ephemeral moment extended life in a mix of beauty and violence.Wafaa Bilal

    Biography : Iraqi-born artist Wafaa Bilal, an Associate Arts Professor at New York University’s Tisch School of the Arts, is known internationally for his on-line performative and interactive works provoking dialogue about international politics and internal dynamics. For his 2007 installation, Domestic Tension, Bilal spent a month in a Chicago gallery with a paintball gun that people could shoot at him over the Internet. The Chicago Tribune called it “one of the sharpest works of political art to be seen in a long time” and named him 2008 Artist of the Year. Bilal’s work is constantly informed by the experience of fleeing his homeland and existing simultaneously in two worlds – his home in the “comfort zone” of the U.S. and his consciousness of the “conflict zone” in Iraq. Using his own body as a medium, Bilal continued to challenge our comfort zone with projects like 3rdi and …and Counting. Bilal’s most recent body of work, Canto III, premiered in a solo booth at the New York Armory Show in 2015 and went on to be shown in the 2015 Venice Biennale.

    In 2008 City Lights published “Shoot an Iraqi: Art, Life and Resistance Under the Gun,” about Bilal’s life and the Domestic Tension project. He holds a BFA from the University of New Mexico and an MFA from the School of the Art Institute of Chicago.
     
    His work can be found in the permanent collections of the Los Angeles County Museum of Art, Los Angeles, CA; Museum of Contemporary Photography, Chicago, IL; MATHAF: Arab Museum of Modern Art, Doha, Qatar; amongst others.
     
     

  • Douglas Duncan, Lee Miller

    Douglas Duncan, Lee Miller et bourke-White

    and Bourke-White.

    The poem is "Deaths and entrances" by Dylan Thomas. Music is "Gotta find out" from the YouTube Audio Library. Photographs were made by Douglas Duncan, Lee Miller and Bourke-White. by Pedro Menchén

     

  • Joana Vasconcelos

    #WOMENHOUSE - MONNAIE DE PARIS / EXPOSIÇÃO COLETIVA, 20.10.2017 > 28.01.2018

    #JoanaVasconcelos integra a grande coletiva de mulheres artistas Women House, organizada pela Monnaie de Paris, em colaboração com o National Museum of Women in the Arts, Washington, D. C.

    Comissariada por #CamilleMorineau e #LuciaPesapanne, esta mostra, que será a primeira de uma série de coletivas de mulheres artistas, aborda a relação de dois conceitos: um género - o feminino - e um espaço - o doméstico. Partindo de um texto de #VirginiaWolf, escrito em 1929, em que a autora defende a reclamação do espaço da mulher na casa e, por conseguinte, na sociedade, as comissárias traçaram um percurso expositivo de oito capítulos, onde se explora a complexidade das várias perspetivas sobre o tema.
    A exposição reúne obras de trinta e nove artistas de várias gerações e nacionalidades, desde nomes consagrados como #LouiseBourgeois, #NikiDeSaintPhalle, #MarthaRosler, #MonaHatoum, #CindySherman e #RachelWhiteread, até às gerações mais novas com #PiaCamil (México), #NazgolAnsarinia (Irão), #IsaMelsheimer (Alemanha) e #LaureTixier(França), entre outras.

    A obra La Theiére (2010), de Joana Vasconcelos, será mostrada, juntamente com outras obras monumentais, num dos pátios do histórico edifício da Monnaie de Paris, situada entre a Ponte das Artes e a Ponte Nova.

    La Théière Joana Vasconcelos,

    #LaTheiére, 2015. 359 x 509 x 345 cm.  Foto #NikoSuckanCut

    Joana Vasconcelos - Piano Dentelle

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  • PODIUMDISKUSSION

    #SCHIRN NEWS

    PROGRAMM-HIGHLIGHT AM ERSTEN BESUCHERTAG

    SCHIRN,

    Unter dem Titel „Weimarer Verhältnisse?“ diskutieren Experten am Freitag, dem 27. Oktober 2017 um 18 Uhr, die Thesen und Themen der Ausstellung GLANZ UND ELEND IN DER WEIMARER REPUBLIK – auch aus aktueller Perspektive.

    Ins Gespräch kommen der Historiker Dr. Andreas Braune (Forschungsstelle Weimarer Republik der Friedrich-Schiller-Universität Jena), die Kunsthistorikerin Dr. Birgit Dalbajewa (Galerie Neue Meister, Staatliche Kunstsammlungen Dresden), Prof. Olaf Peters (Martin-Luther-Universität Halle-Wittenberg) und Dr. Ingrid Pfeiffer, die Kuratorin der Ausstellung. Moderation: Alf Mentzer (hr2 Kultur)

    EINLASS mit gültigem Ausstellungsticket, Abendkasse, kein Vorverkauf - GEBÜHR 12 €, ermäßigt 9 €

    MELDEN SIE SICH AN
    Tel. 069299882112
    fuehrungen(at)schirn.de

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  • Suaire de Mondo Cane

    Recent Acquisition: Yves Klein, Suaire de Mondo Cane (Mondo Cane Shroud), 1961

    By Philippe Vergne, Jan 1, 2004.

    Half shaman, half showman, a judo champion who “leapt into the void,” a mystic devoted to Saint Rita and self-identified as the painter of space who plotted an ultramarine blue revolution, an architect who dreamed of walls of fire and roofs of air, Yves Klein took the European art scene by storm through a career that barely lasted eight years (1954–1962). After that, it was impossible to look at painting, sculpture, photography, architecture, and music the same way, so intense was Klein’s enthusiasm for experimentation and so far beyond the canonical disciplines was his art.

    A few months ago, seated in Yves Klein’s chair, contemplating the walls that he faced every day, touching the doorknobs he grasped, inhaling the air he breathed with the other members of the Nouveau Réalisme group, there in his apartment/studio on Paris’ rue Campagne Première, Daniel Moquay, head of the estate, unfolded in front of my eyes one of the last Anthropometries that Klein produced, Mondo Cane Shroud (1961). Realized in the privacy of his studio or during performances, Anthropometrise are shroudlike paintings that the artist conceived by covering the bodies of nude female models—his “living brushes”—with ultramarine blue paint, which he named and patented as International Klein Blue (IKB). He then instructed these living brushes to produce body prints, radically challenging painting by conciliating it with performance.

    The beauty of Mondo Cane Shroud is its drama. Commissioned to be featured in Gualtiero Jacopetti’s film Mondo Cane (1962), the work was realized in front of a camera, through a large sheet of glass, with the artist’s mistaken belief that the filmmaker would do for him what Hans Namuth did for Jackson Pollock, what Henri-Georges Clouzot did for Picasso. Klein could not reconcile himself to the rude awareness that Mondo Cane was the first global exploitation film—a “shockumentary”—abusing his work dedicated to spiritual perceptions of the world. Publicly humiliated at the film’s premiere at the Cannes Film Festival in 1962, he never recovered from the shock and died a few weeks later of a heart attack. Mondo Cane put an end to Klein’s blue revolution and Mondo Cane Shroud became the ethereal shroud of the artist himself. The Walker’s acquisition, which occurred after nearly eight years of searching, of this marvelous painting and accompanying wooden tub, encrusted with the IKB in which the models bathed, brings together the history of film, performance, and painting.

    yves klein,suaire de mondo cane,

    Yves Klein, Suaire de Mondo Cane (Mondo Cane Shroud), 1961, pigment, synthetic resin on gauze, 108 x 118 ½ in. (274.3 x 301 cm). Collection Walker Art Center, Gift of Alexander Bing, T. B. Walker Foundation, Art Center Acquisition Fund, Professional Art Group I and II, Mrs. Helen Haseltine Plowden, Dr. Alfred Pasternak, Dr. Maclyn C. Wade, by exchange, with additional funds from the T. B. Walker Acquisition Fund, 2004, 2004.63.1–.3. ©Yves Klein and Artists Rights Society (ARS), New York/ADAGP, Paris.

    hiroshima

    #YvesKlein, #Hiroshima (ANT 79), c. 1961, dry pigment, synthetic resin on paper on canvas. The Menil Collection, Houston. ©Artists Rights Society (ARS), New York / ADAGP, Paris.
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    yves klein,

    #YvesKlein, La Spécialisation de la sensibilité à l'état de matière première en sensibilité picturale stabilisée

    (The Specialization of Sensibility in the Raw Material State of Stabilized Pictorial Sensibility), 1958, black-and-white photographs.

    Courtesy the Yves Klein Archives, Paris ©Artists Rights Society (ARS), New York/ADAGP, Paris.

    Klein’s radical innovation of an immaterial art resulted in a host of other experiments. In 1958, he emptied Galerie #IrisClert and called it La Spécialisation de la sensibilité à l’état de matière première en sensibilité picturale stabilisée (The Specialization of Sensibility in the Raw Material State of Stabilized Pictorial Sensibility), otherwise known simply as Le vide (The Void). In 1959, Klein’s modest contribution to Vision in Motion, a group exhibition at the Hessenhuis in Antwerp, was nothing more than a fleeting recitation of Bachelard’s words: “First there is nothing, then there is a deep nothing, then there is a deep blue.” In the early 1960s, as documented in his notebooks of the period, Klein made zones of immaterial pictorial sensibility available to willing collectors such as American screenwriter Michael Blankfort, critic Claude Pascal, and artist Edward Kienholz (all circa 1962); the ritual transfer of these zones involved casting gold into the River Seine and burning any evidence of the transaction. These, among other attempts to grasp the immaterial, are evidence of an art so obliquely misaligned with our faculties of perception and cognition that it resists the reach of our senses. It must be intuited; it must be taken on faith.

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  • " PopCorn "

    La 20ème cérémonie de remise du Prix #Picto de la Mode s'est déroulée le lundi 9 octobre au #PalaisGalliera, Musée de la mode de la Ville de Paris.

    Le Premier Prix a été décerné à #PascaleArnaud.

    "Pop Corn"

     "Popcorn" for #KaltblutMagazine, Pascale Arnaud

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  • Le portrait multiple

    #MarcelDuchamp
    Production Festival Images, #Vevey
    Considéré par beaucoup comme l’artiste le plus important du XXe siècle, son œuvre a inspiré la création de mouvements d’art contemporain, tels que l’art conceptuel, minimal, corporel ou encore optique.

    Marcel DUCHAMP

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  • Festival Visa pour l’Image

    . Les prix du photo-journalisme .

    De nombreuses récompenses ont été attribuées aux photographes lors du Festival Visa pour l’Image, qui s’est tenu à Perpignan du 2 au 17 septembre 2017. Parmi celles-ci, le Visa d’or magazine est revenu à Daniel Berehulak pour son reportage sur la guerre contre la drogue aux Philippines, paru dans The New York Times. Laurent Van Der Stockt a obtenu le Visa d’or news pour ses images de Mossoul parues dans Le Monde.

    Le Visa d’or de l’information numérique France Info est revenu à #VladSokhin pour son projet Warm Waters et le Prix de la ville de Perpignan Rémi Ochlik a été décerné à Rafael Yaghobzadeh pour son travail sur l’Ukraine.

    Vlad Sokhin, Festival Visa pour l’image  Perpignan, Warm waters,

    via Courrier international

  • Nostradamus l'avait prédit !

     #Devastation / États-Unis. Une “tempête de #feu” ravage la #Californie

    Au moins 23 personnes sont mortes dans les incendies qui ravagent le nord de la Californie depuis dimanche. Les feux sont d’une telle intensité que les autorités concentrent les moyens sur les zones fortement habitées, rapporte la presse locale.

    “Ces feux se propagent plus vite que les pompiers ne courrent”, résume le chef des pompiers de Californie, Ken Pimlott, dont les propos sont rapportés par plusieurs médias américains.

    Depuis dimanche 8 octobre, 22 incendies majeurs ravagent le nord de la Californie. Le bilan – provisoire – est catastrophique : près de 70000 hectares ont brûlé et 23 personnes sont mortes. “

    Les autorités locales ont d'ores et déjà prévenu que ce bilan allait très certainement augmenter, des centaines de personnes étant toujours disparues et des zones entières toujours impossibles d’accès”, écrit le North Bay Business Journal.

    Des villes entières évacuées

    “Le vent est arrivé de nulle part et a commencé à déraciner les arbres : c’était littéralement une tempête de feu”, raconte un habitant de la Redwood Valley au journal The Press Democrat. Un témoignage parmi des dizaines, recueillis par les journalistes de la presse locale, qui tient la chronique, quartier par quartier, heure par heure, des évacuations — “fortement conseillées” ou rendues obligatoires par les autorités – de l’état des routes, des destructions ou des lieux d’accueil pour ceux qui ont dû quitter leur maison ou qui n’en ont plus.

    Des dizaines de milliers de personnes ont dû évacuer.

    Ces évacuations, détaille le Los Angeles Times, concernent parfois des villes entières comme Calistoga ou Geyserville. A Napa, seuls certains quartiers, à l’est de la ville, sont concernés pour le moment. “Le feu n’y est pas une menace immédiate, mais les conditions peuvent changer rapidement”, assurent les autorités locales au quotidien de Los Angeles. Le vent devrait rester fort, voire se renforcer, jusqu’à jeudi soir, ont prévenu les autorités.

    “On y voyait comme en plein jour”

    “Attisé par la chaleur et les vents secs, le feu est si étendu et se déplace si rapidement, que le but immédiat des autorités n’est plus de l’arrêter, mais de le ralentir, de le canaliser loin des zones habitées pour sauver des vies. Sauver les habitations et les entreprises est secondaire”, résume le New York Times.

    Le nord de la Californie est une grande région viticole ; les vignobles sont particulièrement exposés aux incendies. “Je me suis réveillé en plein #Armageddon, tout était en feu. On y voyait comme en plein jour”, explique un vigneron qui a perdu ses vignes au Sonoma News.

    Une autre exploitation, dans la Napa Valley a eu plus de chance. Les bâtiments ont été sauvés, les vignes épargnées mais “les fruits se sont déshydratés sur la vigne : tout ce qui n’a pas été détruit, sera perdu”, se désole l’exploitant, cité par le Napa Valley Register.

    “L’impact du changement climatique est difficile à ignorer. En trois ans, la Californie a eu à la fois l’année la plus humide et l’année la plus sèche. C’est exactement ce qui était prévu”, se désole dans les colonnes du Guardian un vigneron de la Sonoma Valley qui a perdu une partie de ses vignes.

    #COURRIERINTERNATIONAL - PARIS - 12/10/2017 à 07:26 

    Californie, Nostradamus,

    Photo © /FlickR/#Torbakhopper

     

     
  • À l'heure qu'il est, 2014

    Pierre Alechinsky 

    Gravure originale, eau-forte, signée et datée au crayon par l'artiste. Galerie MC / Michelle Champetier

    Pierre Alechinsky , Galerie MC / Michelle Champetier,

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  • Michael Wolf

    #MichaelWolf

    n'est pas un photographe sentimentaliste, son truc à lui c'est plutôt les environnements urbains, les paysages mais pas les portraits.

    Michael Wolf

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  • Optic-Topic gold mask

    #ManRay’s jewelry by #GemMontebello

    Among the rash of artist/goldsmith collaborations that came out in the sixties and seventies, Man Ray’s jewelry truly stands out. To see what I mean, visit the Picasso to Koons: The Artist as Jeweler exhibit at the Museum of Arts and Design and compare Man Ray’s dramatic sculptural designs to the wall of flat, stamped gold plaques produced at the same time by François Hugo from drawings by Pablo Picasso and Max Ernst. No comparison.
    Man Ray’s most famous pieces look a little challenging to wear, but they are superb pieces of craftsmanship – thanks to Gem Montebello, the Italian firm who produced them – and more functional than they appear. His Optic-Topic gold mask, for example, would appear to completely blind the wearer, but if you look closely, you can see a network of tiny drilled holes forming a spiral pattern. by #CathleenMcCarthy • October 18, 2011

    Man Ray, Gem Montebello,
    Optic-Topic gold mask designed by Man Ray, 1974, 79/100 edition, produced by Gem Montebello

    (Diane Venet collection)

  • Titane Le Cat

    lit Le Monde diplomatique !

    Titane Le Cat, Le Monde diplomatique

    © -IP. 2014

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  • Life

    In 1936,

    Time magazine founder Henry Luce bought a struggling general interest magazine called Life solely for the use of its name.

    He turned it into the first ever photojournalism-based news magazine, and recruited some of the world’s most talented photographers. Margaret Bourke-White and Alfred Einsenstadt were among the original staff photographers; others who contributed to the magazine over the years include Robert Capa, Phillippe Halsman and Gordon Parks.

    the literate lens

    LIFE

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