789x987

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

gÉnocide grecs pontiques - 19 mai 2018

  • Génocides et Turquie

    GÉNOCIDE GRECS PONTIQUES - 19 mai 2018

    Commémoration du GÉNOCIDE des GRECS PONTIQUES - 19 mai 2018 

    Le 19 Mai est le jour choisi par l’Etat grec pour commémorer ce génocide, date importante aux yeux de deux millions de Grecs Pontiques dispersés dans le monde. Depuis Homère les Grecs habitaient les côtes du Pont Euxin ou de la mer noire, de l’Asie Mineure et d’autres rives de la Méditerranée. 3000 ans d’histoire et de civilisation à cet endroit pour aboutir à 353 000 tués, pour un total de 1 million de Grecs exterminés par la Turquie entre 1916 et 1922. Sans compter un saccage archéologique sans précédent.

    Génocide grec, lundi 19 mai 2014 - par Anastase Adonis

    Le peuple kurde, clé de voûte du Moyen-Orient
    Fragilisé par les Printemps arabes, la guerre civile qui meurtrit la Syrie depuis 2011 et le conflit qui fragmente l'Irak, le Moyen-Orient devra être pacifié puis reconstruit. Russie, États-Unis, Turquie, Iran, Arabie Saoudite, ONU, France : tous les acteurs qui pèseront dans cette reconstruction savent que cette région ne pourra être durablement stabilisée sans tenir compte des revendications politiques du peuple kurde.

    Trahis par les Alliés en 1922, opprimés dans quatre pays, les Kurdes sont depuis six ans aux avant-postes de la lutte contre l'État islamique. Leur rôle militaire sur le terrain comme le poids des autonomies territoriales conquises en Irak puis en Syrie ont fait d'eux la véritable clé de voûte du Moyen-Orient.

    À la lumière de l'histoire tourmentée de ce peuple depuis les accords Sykes-Picot de 1916, ce livre analyse la crise moyen-orientale au prisme des questions nationales kurdes, de leurs mutations identitaires et des clivages passés et actuels qui tiraillent les principaux partis politiques kurdes. Il projette ainsi un nouvel éclairage sur l'échiquier ethnique, confessionnel et géopolitique où se joue désormais l'avenir du Moyen-Orient.

    Olivier Piot, préface de Frédéric TissotISBN 978-2-36383-234-4Date de parution 24 mai 2017

    Après Daesh, les yézidi.es font face aux conversions forcées à l’islam, entre autres persécutions à #Afrin
    Très peu d’informations ont filtré sur les conditions de vie à Afrin depuis sa capture par l’armée turque et ses alliés le 18 mars. Dans son dernier rapport en date du 16 avril, le Bureau de coordination des affaires humanitaires des Nations-Unies indique que 137 000 personnes ont été déplacées hors d’Afrin tandis que 150 000 sont restées sur place, 50 000 dans la ville même, et 100 000 dans les campagnes.

    Ce rapport dit que les déplacements des personnes sont lourdement entravés et celles qui veulent regagner leurs maisons ne sont pas autorisées à passer les check-points. Bien qu’il n’en soit pas fait mention, ces check-points sont contrôlés par les militaires turcs ou leurs auxiliaires arabes dans la mesure où ceux-ci sont aujourd’hui la seule autorité à Afin. Il évoque les propos de nombreux représentants turcs qui disent «si des #Kurdes vivent dans une tente en Afrique, cette tente doit être détruite.»

    Parce que les Turcs et leurs alliés Arabes perçoivent les Yézidi.es à la fois comme infidèles et Kurdes, ajoute-t-il, sa communauté est doublement mise en danger et sera la plus grande perdante dans n’importe quelle guerre menée par la Turquie contre les Kurdes. Même le nom des villages #yézidis a été changé.

    Sheikh Qamber relate une conversation qu’il a eue avec un militant islamiste qui l’avait arrêté et interrogé près de la ville d’Azaz alors qu’il tentait de fuir. A la demande de son interrogateur, il dit qu’il est du village de Qastel Jindo. L’islamiste qui fait partie des groupes disant souvent appartenir à l’Armée syrienne libre (ASL), lui répond : «Ce n’est plus Qastel Jindo. C’est al-Quds maintenant. Nous lui donnerons le nom de la capitale de la Palestine. Ces régions étaient occupées par des infidèles et, désormais, elles retournent à leurs propriétaires originaux avec leurs noms originaux. Nous sommes venus (...) pour vous décapiter.» Par #ROJINFO - 20 avril 2018

    "Islamophobie" ! Terme créé pour détourner les yeux de l'actualité.
    Ça se passe AUJOURD'HUI. Pas hier, aujourd'hui.

    .