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france culture

  • Diane Arbus

    #DianeArbus ce sont des formats 6x6 en noir et blanc, pour des portraits saisis au flash, frontaux le plus souvent… Des photographies dites "de rues" : un petit garçon tenant dans la main une grenade, deux petites jumelles en robe noires, une dame dans un bus, le garçon au canotier et son badge "Bomb Hanoï"… des travestis, des tatoués, des nains, des marginaux, des excentriques, de toutes sortes et de tout genre… et aussi des hommes, des femmes, des enfants, extraordinairement ordinaires, tous uniques, tous singuliers, arrachés à la foule de New-York. En une quinzaine d'année à peine, en tirant le portait de l'Amérique des années 60, Diane Arbus aura produit l'une des œuvres photographiques les plus importantes du vingtième siècle.

    Diane Arbus, France Culture,

    par Olivier Kaeppelin - Avec Patrick Roegiers et Jacques Teboul

    Réalisation Anne-Marie Chapoullié - #FranceCulture

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  • La sapologie

    La transgression des codes vestimentaires européens, notamment au Congo, a commencé dès la fin du XIXe siècle. "Sortir ses griffes" est une expression courante de la "sapologie" . Il s'agit donc aussi d'une forme d'insoumission. Dans les années 1920, les autorités coloniales belges ou françaises ont pu effectuer des contrôles policiers sur les accoutrements vestimentaires... Dans le contexte post-colonial, les "sapeurs" immigrés en Europe aiment ne pas se "faire discrets" (ce que les sociétés occidentales leur demandent). La longue histoire de la SAPE, de la colonisation aux migrations (XIXe-XXe siècles).

    A Brazzaville, Kinshasa et à Paris, la SAPE (Societé des Ambianceurs et des Personnes Elégantes), plus largement désignée sous le nom de "sapologie", est un mouvement d'identité vestimentaire qui détourne et réinvente depuis plus de 100 ans les codes de la mode parisienne. La Sapologie via France Culture